Sortie bateau pour aller admirer le premier phare métallique de France mais également pour se reposer à l'ombre des filaos!Ici, on dit qu'il fait toujours plus beau au phare Amédée!
Malgré l'arrivée des nuages vers midi, nous avons passé une journée magnifique!
L’îlot est aussi connu pour ses fameux habitants : les tricots rayés! que nous n'avons, bien évidement, pas manqué de croiser!!!...
Album Photos
Un peu d'histoire...
En 1861, suite aux nombreux naufrages de navires entrant dans le lagon, Paris ordonna la construction d'un phare. Il est fabriqué, en moins de 4 mois, par les ateliers de l'entreprise Rigolet (ingénieur issu des ateliers Eiffel) aux Buttes Chaumont, selon les plans du directeur du service des phares Léonce Reynaud.
En juillet 1862, il est monté aux portes de l'usine pour vérifier sa rigidité. Après 2 ans d'exposition, il est démonté. Tous les éléments, emballés dans 1 265 colis (représentant plus de 400 tonnes), sont transportés sur la Seine jusqu'au Havre puis embarqués sur l'Émile Pereire qui touche la Nouvelle-Calédonie le 15 novembre 1864.
Après 10 mois d'intense labeur des militaires et travailleurs locaux, le phare est érigé sur l'îlot Amédée. Sa première illumination a lieu le 15 Novembre 1865, jour de la Saint Eugénie, du même nom que l' Impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III.
Son rayonnement marque l'entrée de la passe de Boulari, l'une des 3 seules entrées naturelles du lagon.
Haut de 56 mètres, le Phare Amédée domine cette petite île de 400 mètres de long et 270 mètres de large, située à 24 kilomètres de Nouméa.
Pour admirer l'époustouflant panorama, il faut gravir les 247 marches du superbe escalier de fonte qui conduit au sommet de la tour.
Un phare jumeau du Phare Amédée a été construit et installé sur le Champ de Mars pour l'Exposition Universel de Paris en 1867. Il a, lui aussi, été démonté puis remonté en 1869 à 40 km du littoral sur le plateau des Roches-Douvres, entre les îles de Bréhat et Guernesey, dans la Manche. L’édifice a été détruit par les troupes allemandes en 1944.
Malgré l'arrivée des nuages vers midi, nous avons passé une journée magnifique!
L’îlot est aussi connu pour ses fameux habitants : les tricots rayés! que nous n'avons, bien évidement, pas manqué de croiser!!!...
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Un peu d'histoire...
En 1861, suite aux nombreux naufrages de navires entrant dans le lagon, Paris ordonna la construction d'un phare. Il est fabriqué, en moins de 4 mois, par les ateliers de l'entreprise Rigolet (ingénieur issu des ateliers Eiffel) aux Buttes Chaumont, selon les plans du directeur du service des phares Léonce Reynaud.
En juillet 1862, il est monté aux portes de l'usine pour vérifier sa rigidité. Après 2 ans d'exposition, il est démonté. Tous les éléments, emballés dans 1 265 colis (représentant plus de 400 tonnes), sont transportés sur la Seine jusqu'au Havre puis embarqués sur l'Émile Pereire qui touche la Nouvelle-Calédonie le 15 novembre 1864.
Après 10 mois d'intense labeur des militaires et travailleurs locaux, le phare est érigé sur l'îlot Amédée. Sa première illumination a lieu le 15 Novembre 1865, jour de la Saint Eugénie, du même nom que l' Impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III.
Son rayonnement marque l'entrée de la passe de Boulari, l'une des 3 seules entrées naturelles du lagon.
Haut de 56 mètres, le Phare Amédée domine cette petite île de 400 mètres de long et 270 mètres de large, située à 24 kilomètres de Nouméa.
Pour admirer l'époustouflant panorama, il faut gravir les 247 marches du superbe escalier de fonte qui conduit au sommet de la tour.
Un phare jumeau du Phare Amédée a été construit et installé sur le Champ de Mars pour l'Exposition Universel de Paris en 1867. Il a, lui aussi, été démonté puis remonté en 1869 à 40 km du littoral sur le plateau des Roches-Douvres, entre les îles de Bréhat et Guernesey, dans la Manche. L’édifice a été détruit par les troupes allemandes en 1944.
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