Et c'est reparti pour une journée wake en baie Maa! On ne s'en lasse pas!!!
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(Une vidéo de cette session est dispo dans l'onglet "vidéo".)
mardi 27 novembre 2012
Retour à l'aquarium des lagons - 25 mai 2012
Pendant ces vacances, les filles ne résistent pas à l'envie d'une nouvelle visite à l'aquarium!
C'est l'occasion de retrouver notre "ami" mi-poisson, mi-tétard vu au sentier de la mangrove dont on ne connaissait pas le nom! C'est, en fait, un poisson nommé "périophthalme".
Nous avons également visité une belle exposition temporaire sur les abyss.
Bref, un agréable moment!!!
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C'est l'occasion de retrouver notre "ami" mi-poisson, mi-tétard vu au sentier de la mangrove dont on ne connaissait pas le nom! C'est, en fait, un poisson nommé "périophthalme".
Nous avons également visité une belle exposition temporaire sur les abyss.
Bref, un agréable moment!!!
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Le musée de la ville de Nouméa - 23 mai 2012
Nous profitons des vacances pour aller découvrir le Musée de la Ville, ouvert depuis 1996. Il est abrité dans un magnifique bâtiment de style colonial construit en 1874 afin d’abriter la première
banque de Nouvelle-Calédonie (la banque Marchand) qui fit rapidement faillite. La
municipalité y installa alors l’hôtel de Ville de 1880 à 1975.
Le musée est aujourd’hui consacré à l’histoire calédonienne de 1853 à 1953.
C'est un musée très intéressant mais pas suffisamment ludique pour être attractif pour les enfants...
Au rez-de-chaussée, on découvre la mise en place de la colonie avec la construction de Nouméa sur les remblais, l’installation d’un bagne (1864-1897) et des objets d'art fabriqués par les bagnards, l’établissement d’une politique indigène, et même la première voiture importée en Nouvelle-Calédonie, la Georges Richard.
Au sous-sol, qui abritait autrefois le coffre-fort de la banque, on entre dans une tranchée pour parcourir l’histoire la Première Guerre mondiale. Poilus calédoniens et tirailleurs kanak rejoignent le front de 1915 à 1918.
L'autre partie du sous-sol est consacrée à la découverte, par Jules Garnier en 1864, du nickel qui se révèle être un véritable "or vert" sur lequel repose désormais l’économie du Caillou.
Le premier étage présente la Seconde Guerre mondiale. La Nouvelle-Calédonie se rallie à la France Libre dès septembre 1940 et de nombreux volontaires calédoniens rejoignent le front. Devenue base arrière de l’US Army de 1942 à 1945, soldats américains, australiens et néo-zélandais transitent par la Nouvelle-Calédonie avant d’aller combattre les Japonais.
Une maquette de la ville de Nouméa en 1897 permet d’apprécier l’évolution de la ville et son charme d’antan.
On termine la visite par le beau jardin nouméen des années 1900 à l’arrière du musée. De nombreuses espèces sont endémiques ; beaucoup ont également été importées au XIXe siècle, notamment de la Réunion par les colons Bourbonnais.
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C'est un musée très intéressant mais pas suffisamment ludique pour être attractif pour les enfants...
Au rez-de-chaussée, on découvre la mise en place de la colonie avec la construction de Nouméa sur les remblais, l’installation d’un bagne (1864-1897) et des objets d'art fabriqués par les bagnards, l’établissement d’une politique indigène, et même la première voiture importée en Nouvelle-Calédonie, la Georges Richard.
Au sous-sol, qui abritait autrefois le coffre-fort de la banque, on entre dans une tranchée pour parcourir l’histoire la Première Guerre mondiale. Poilus calédoniens et tirailleurs kanak rejoignent le front de 1915 à 1918.
L'autre partie du sous-sol est consacrée à la découverte, par Jules Garnier en 1864, du nickel qui se révèle être un véritable "or vert" sur lequel repose désormais l’économie du Caillou.
Le premier étage présente la Seconde Guerre mondiale. La Nouvelle-Calédonie se rallie à la France Libre dès septembre 1940 et de nombreux volontaires calédoniens rejoignent le front. Devenue base arrière de l’US Army de 1942 à 1945, soldats américains, australiens et néo-zélandais transitent par la Nouvelle-Calédonie avant d’aller combattre les Japonais.
Une maquette de la ville de Nouméa en 1897 permet d’apprécier l’évolution de la ville et son charme d’antan.
On termine la visite par le beau jardin nouméen des années 1900 à l’arrière du musée. De nombreuses espèces sont endémiques ; beaucoup ont également été importées au XIXe siècle, notamment de la Réunion par les colons Bourbonnais.
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jeudi 15 novembre 2012
A nouveau en Baie Maa - 20 mai 2012
Déjà de retour dans notre baie préférée pour faire du wake!
Que de bons moments!!!
Entre temps, la petite souris est encore passée pour Anaëlle....
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Que de bons moments!!!
Entre temps, la petite souris est encore passée pour Anaëlle....
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mercredi 14 novembre 2012
Baie Maa - 17 mai 2012
Journée dans la magnifique baie Maa. Une baie abritée du vent donc idéale pour faire du wake, nouvelle passion de toute la famille!!! En plus, avec, maintenant, une vraie planche de wake, ça marche beaucoup mieux!!!
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Wake Baie de Toro - 09 mai 2012
Sortie wake en famille dans la baie juste à côté de la maison.
Anaëlle sort pour la première fois au palonnier et Estelle tient toute seule à la barre.
Quant à moi, premières sorties très bof-bof.............bon, j'ai une excuse je suis sur une planche de kitesurf et non sur une planche de wakeboard........que de courbatures le lendemain!!!!!!......
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Pour ceux qui n'auraient pas encore vu, une vidéo de cette session et dispo dans l'onglet "vidéo".
Anaëlle sort pour la première fois au palonnier et Estelle tient toute seule à la barre.
Quant à moi, premières sorties très bof-bof.............bon, j'ai une excuse je suis sur une planche de kitesurf et non sur une planche de wakeboard........que de courbatures le lendemain!!!!!!......
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Pour ceux qui n'auraient pas encore vu, une vidéo de cette session et dispo dans l'onglet "vidéo".
samedi 10 novembre 2012
Ilot Amédée - 30 avril 2012
Sortie bateau pour aller admirer le premier phare métallique de France mais également pour se reposer à l'ombre des filaos!Ici, on dit qu'il fait toujours plus beau au phare Amédée!
Malgré l'arrivée des nuages vers midi, nous avons passé une journée magnifique!
L’îlot est aussi connu pour ses fameux habitants : les tricots rayés! que nous n'avons, bien évidement, pas manqué de croiser!!!...
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Un peu d'histoire...
En 1861, suite aux nombreux naufrages de navires entrant dans le lagon, Paris ordonna la construction d'un phare. Il est fabriqué, en moins de 4 mois, par les ateliers de l'entreprise Rigolet (ingénieur issu des ateliers Eiffel) aux Buttes Chaumont, selon les plans du directeur du service des phares Léonce Reynaud.
En juillet 1862, il est monté aux portes de l'usine pour vérifier sa rigidité. Après 2 ans d'exposition, il est démonté. Tous les éléments, emballés dans 1 265 colis (représentant plus de 400 tonnes), sont transportés sur la Seine jusqu'au Havre puis embarqués sur l'Émile Pereire qui touche la Nouvelle-Calédonie le 15 novembre 1864.
Après 10 mois d'intense labeur des militaires et travailleurs locaux, le phare est érigé sur l'îlot Amédée. Sa première illumination a lieu le 15 Novembre 1865, jour de la Saint Eugénie, du même nom que l' Impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III.
Son rayonnement marque l'entrée de la passe de Boulari, l'une des 3 seules entrées naturelles du lagon.
Haut de 56 mètres, le Phare Amédée domine cette petite île de 400 mètres de long et 270 mètres de large, située à 24 kilomètres de Nouméa.
Pour admirer l'époustouflant panorama, il faut gravir les 247 marches du superbe escalier de fonte qui conduit au sommet de la tour.
Un phare jumeau du Phare Amédée a été construit et installé sur le Champ de Mars pour l'Exposition Universel de Paris en 1867. Il a, lui aussi, été démonté puis remonté en 1869 à 40 km du littoral sur le plateau des Roches-Douvres, entre les îles de Bréhat et Guernesey, dans la Manche. L’édifice a été détruit par les troupes allemandes en 1944.
Malgré l'arrivée des nuages vers midi, nous avons passé une journée magnifique!
L’îlot est aussi connu pour ses fameux habitants : les tricots rayés! que nous n'avons, bien évidement, pas manqué de croiser!!!...
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Un peu d'histoire...
En 1861, suite aux nombreux naufrages de navires entrant dans le lagon, Paris ordonna la construction d'un phare. Il est fabriqué, en moins de 4 mois, par les ateliers de l'entreprise Rigolet (ingénieur issu des ateliers Eiffel) aux Buttes Chaumont, selon les plans du directeur du service des phares Léonce Reynaud.
En juillet 1862, il est monté aux portes de l'usine pour vérifier sa rigidité. Après 2 ans d'exposition, il est démonté. Tous les éléments, emballés dans 1 265 colis (représentant plus de 400 tonnes), sont transportés sur la Seine jusqu'au Havre puis embarqués sur l'Émile Pereire qui touche la Nouvelle-Calédonie le 15 novembre 1864.
Après 10 mois d'intense labeur des militaires et travailleurs locaux, le phare est érigé sur l'îlot Amédée. Sa première illumination a lieu le 15 Novembre 1865, jour de la Saint Eugénie, du même nom que l' Impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III.
Son rayonnement marque l'entrée de la passe de Boulari, l'une des 3 seules entrées naturelles du lagon.
Haut de 56 mètres, le Phare Amédée domine cette petite île de 400 mètres de long et 270 mètres de large, située à 24 kilomètres de Nouméa.
Pour admirer l'époustouflant panorama, il faut gravir les 247 marches du superbe escalier de fonte qui conduit au sommet de la tour.
Un phare jumeau du Phare Amédée a été construit et installé sur le Champ de Mars pour l'Exposition Universel de Paris en 1867. Il a, lui aussi, été démonté puis remonté en 1869 à 40 km du littoral sur le plateau des Roches-Douvres, entre les îles de Bréhat et Guernesey, dans la Manche. L’édifice a été détruit par les troupes allemandes en 1944.
Estelle et le vélo...toute une histoire! - 22 avril 2012
Pas de soleil encore aujourd'hui donc c'est l'occasion de prendre du temps avec Estelle et le vélo..........bon, ce n'est encore pas gagné mais il y a du progrès!!! Après cette petite séance, ça roule enfin tout seul! Restent les démarrages à perfectionner!
Pendant ce temps, d'autres s'essaient aux rollers.....
Et puis, comme toujours, Cédric ne peut s’empêcher de faire un petit tour sur le vélo des filles.....comme quoi une certaine chute mémorable n'a pas forcement servi de leçon!!!...
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Pendant ce temps, d'autres s'essaient aux rollers.....
Et puis, comme toujours, Cédric ne peut s’empêcher de faire un petit tour sur le vélo des filles.....comme quoi une certaine chute mémorable n'a pas forcement servi de leçon!!!...
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vendredi 9 novembre 2012
Attention, c'est bientôt l'hiver!
Musée de Nouvelle-Calédonie - 21 avril 2012
Par une journée un peu maussade (et oui, ça arrive!... le soleil n'est pas toujours au rendez-vous en Calédonie!), nous voici partis à la découverte du Musée de Nouvelle-Calédonie.
Une occasion pour nous de découvrir les traditions océaniennes et mélanésiennes et surtout, l'histoire et la civilisation kanak.
Créé par le gouverneur Guillain en 1863, le musée possède des collections passionnantes.
Pour la petite histoire...
Le contre amiral Charles Guillain fut le premier gouverneur en titre de Port-de-France (rebaptisée Nouméa en 1866). Il encouragea le métissage des populations mais, très vite, les autochtones se rebellèrent. Il mis en place une politique d'annexion des terres et d'administration des populations mélanésiennes, avec la création des premières réserves autochtones.
Revenons à notre visite.....
Le rez-de-chaussé du musée présente les cultures mélanésiennes de Calédonie.
On y découvre la fabrication des outils et des ustensiles pour l'agriculture, la pêche ou la cuisine, les bijoux en jade et coquillages, les armes, les totems de bois sculpté, les ustensiles et parures pour les rites et, bien évidement, les fameuses flèches faitières.
Ces flèches faitières représentent l'Aîné ou l’ancêtre totémique. Selon les régions, elles sont anthropomorphes ou géométriques. Sur leur sommet, sont enfilées des conques, instruments de l'appel et de la réunion des clans. Elles sont l’orgueil de la tribu et représentent la puissance du clan (aujourd'hui encore!).
On y découvre aussi la "coutume", rituel codifié d'échanges de dons et de contre-dons (ignames, tissus, monnaie, cigarettes).
Au premier étage sont présentés les arts et cultures du pacifique Sud (Papouasie-Nouvelle-Guinée, Iles Salomon, Vanuatu, Irian Jaya...).
A l'extérieur, on peut visiter une grande case de la côte Est avec son allée d'araucarias (pins colonnaires, endémiques de la Calédonie) et de plantes rituelles mais, également un petit jardin d'éthnobotanique.
Bref, une visite très enrichissante où même les filles ne se sont pas ennuyées car elles ont pu suivre tout au long des différentes salles, des panneaux expliquant aux enfants quelques légendes océaniennes et mélanésiennes, joliment illustrées.
Reprise du blog.......
Après un déménagement de notre maison "Playmobil", un emménagement dans une maison plus grande, neuve, avec des murs en dur (chouette!!!), pleine de poussière de plâtre, un terrain plein de cailloux et sans aucune végétation, les cartons à faire puis à vider, plus de 3 mois sans téléphone ni internet, nous prenons enfin le temps de vous donner quelques nouvelles!
Tout va bien pour nous, l'été pointe tranquillement le bout de son nez. L'océan se réchauffe doucement....23°C ces derniers jours, on peut à nouveau nager sans combi!!!
La maison est super, les affaires sont rangées, le jardin commence à ressembler à quelque chose avec son gazon qui pousse et les diverses boutures qui promettent de belles fleurs (hibiscus, frangipaniers, aloevera, lauriers fleurs, bougainvilliers, becs de perroquets) et de beaux fruits et légumes (tomates, avocats, radis, ananas, bananiers).
Maintenant, nous allons devoir rattraper le retard pris sur la publication des articles.........aïe!..........Reprenons donc mi-avril...........
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